Canyon de Berghe

Date : Dimanche 26 juin 2011
Participants : Patrick, Alexandre, Michel, Maëlle et Gilles (Spéléo-Magnan) ; Nathalie, Alvaro (SophiTaupes)
Durée : 6 h 30 (Départ : 11 h 30, Fin : 18 h)

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Aujourd’hui, pour changer de nos habitudes, nous décidons de pratiquer un canyon plus sauvage…

À 8 h nous retrouvons toute l’équipe devant l’Espace Magnan. Une fois les voitures chargées nous voila parti pour le village de Fontan. Au programme du jour : le canyon de Berghe (ou Bergue). Un canyon qui est dit très glissant et très sauvage. Une fois arrivées à Fontan, pour la navette, nous nous entassons à sept dans la Kangoo (les deux filles à l’avant et les quatre gars à l’arrière). L’accès au canyon nous annonce la difficulté qui nous y attend, ronces et orties sur le trajet. Arrivés dans l’eau, après 5 minutes de marche, nous nous équipons pour permettre une progression plus aisée à travers la végétation, tant elle est développée et peu fréquentée.

Très vite nous arrivons aux premières difficultés du canyon, la roche est très glissante (alternance de calcaire et de pélite). Cela nous a permis de faire de très jolis toboggans malgré les faibles déclinaisons, rires assurés.
Ensuite nous arrivons aux premières cascades et nous constatons que nous sommes loin de l’équipement des canyons du Conseil Général. Du coup les arbres deviennent nos amis. Nous enchaînons par une très jolie cascade de 25 m dans un cirque de végétation. Le débit est tout à fait correct pour s’y faire rafraîchir.

Après une pause déjeunée, nous continuons dans cette jungle, très agréable, elle nous protège du soleil. La progression sur la roche glissante est difficile et de nombreuses chutes se font entendre. Les désescalades en grand nombre dans les blocs ne facilitent pas la progression. Heureusement, sur notre chemin, nous rencontrons des toboggans improvisés (plans inclinés) qui nous permettent de nous y amuser. Nous enchaînons une série de trois cascades assez sympas qui changent de la marche. Puis nous tombons sur une suite de quatre petites cascades très jolies et très agréables à passer, ensuite sur une cascade de 33 m, la plus aérienne du canyon. Après, nous passons sous un pont pour atteindre la grande cascade de 65 m. De nombreux arbres se situent sur notre chemin, du coup la progression et très difficile pour atteindre le rappel. La cascade est un grand plan incliné que l’on peut descendre sur les fesses avec la corde. Après avoir franchi une dernière cascade très arrosée de 20 m, nous arrivons à la voiture.

Ce canyon nous a permis de bien travailler avec les équipements naturels. Le débit était suffisamment correct pour bien s’amuser dans les toboggans et les cascades.

Gilles et Maëlle

Vallon de Bès-Courmes et les gorges du Loup

Date : Samedi 18 juin 2011
Lieu : Bès-Courmes + les Gorges du Loup
Participants : Maëlle, Gilles, Nathalie, Alvaro, Mika, Cédric, Paul et Cara

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Nous sommes partis récupérer Alvaro, un ami de Nathalie habitant au Guatemala, à 9 h puis direction le club. Nous y retrouvons Paul ayant préparé le matériel. Au programme de la journée, nous décidons de faire le canyon de Courmes en premier puis, suivant les conditions météorologiques, d’enchaîner soit par le canyon du Loup soit par le vallon du Tunnel. On craignait un fort débit dans le canyon du Loup.
Nous récupérons Nathalie à Cagnes-sur-Mer, nous montons ensuite dans le Loup retrouver nos amis marseillais.
Arrivé sur le parking du Loup nous constatons avec surprise qu’aucune place n’est disponible et qu’il y a beaucoup de pratiquants dans le Loup. Ce qui nous confirme que le Loup est praticable. Après c’être changé nous voilà parti sur Courmes pour commencer la journée.

Ne connaissant pas l’accès du canyon nous demandons à des enfants du village s’ils le connaissent. Car en bon Magnan qui se respecte nous sommes partis de la voiture sans nous soucier du chemin d’accès. Les enfants nous ont indiqué où aller pour accéder à la grande cascade, craignant que ce chemin nous mènes directement à la dernière cascade, nous décidons de ne pas prendre en compte leurs informations et prenons l’autre chemin. Il en résulte que la durée du chemin s’est prolongée de 20 min dans les broussailles. Après avoir traversé cette jungle, nous tombons sur un beau chemin (le fameux chemin indiqué par les gamins et qui se situe à 10 min des voitures) qui nous a menés directement à la première cascade. Le débit est correct, Nathalie est la première à équiper, puis nous enchaînons cascade après cascade. Nous arrivons à la dernière cascade. Une sensation vertigineuse est ressentie par l’ensemble du groupe, la longueur de descente est de 62 m, dont une grande partie dans le vide. Mika nous a fait l’honneur de descendre la tête la première en moins de deux secondes (film à l’appui). La durée de descente est de 2 h 30.
Après la fierté d’avoir réussi cette descente nous une faisons une pause aux voitures pour manger.

Nous enchaînons sur le canyon du Loup. Il y a beaucoup de pratiquants, nous avons croisé 5 groupes. Mais cela ne nous a pas dérangés étant donné que l’utilisation de cordes n’est pas nécessaire et que la descente se fait sans attente. On s’est bien amusé dans les sauts. Paul a démontré et expliqué comment se mettre en place pour un saut périlleux arrière. Nous avons mis 3 h pour faire ce canyon.

De retour aux voitures la bière traditionnelle nous attendait. Puis tout le monde rentre à la maison. Une très belle journée…

Maëlle et Gilles

Vallon de Cramassouri

Date : Dimanche 19 juin 2011
Participants : Karine, Aurélie, Gilles et Michel
Commune : La Tour sur Tinée (Vallée de la Tinée)
Temps : 2 h 40

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En ces temps de chaleur, rien ne vaut un petit canyon pour se rafraîchir. C'est parti pour le vallon de Cramassouri bien connu des canyonneurs du département. On en profitera avec Gilles pour faire l'initiation d'Aurélie.

Rien à dire de particulier, c'est joli, l'eau n'est pas trop froide, il faisait beau et Aurélie s'en est bien sortie. Quelques rappels et quelques sauts ont agrémenté le parcours... long ! En effet, la présence de plusieurs groupes (pas loin de 50 personnes dans le vallon !) nous ont quelque peu ralentis... Heureusement pour nous, partis relativement tard et en prenant notre temps, nous avons croisé la route des groupes vers la fin de Cramassouri.

Vallon de Cramassouri par speleomagnan

Final au bord de la Tinée avec Karine qui nous attendait, les bières au frais ! Nous avons fini notre journée autour d'une table d'un bistrot de la Tour sur Tinée en compagnie du sympathique club de spéléo de Beausoleil.

Michel

Grotte du Scorpion et grotte de la Baume Saint-Pierre

Date : Samedi 18 juin 2011
Participants : Christian, Fred, Valérie et Gaëtan
Lieux : Grotte du scorpion et grotte de la Baume St Pierre (Roquefort les
Pins)
Temps : 4 h 30, les deux cumulés

Eh oui ! Nous devions aller à l'aven Line, mais le destin en a voulu autrement... Alors que nous roulions « tranquillement » avec la Clio de Christian (qui a quand même doublé une Porsche et une Audi sur route de montagne...) nous nous sommes aperçus que la route était barrée, car une course de côte était prévue. D'ailleurs, la Porsche que Christian a doublée s'y rendait et je pense qu'elle a du rentrer chez elle écœuré... (Fred et Valérie étant dans une autre voiture) Donc ni une ni deux nous voila partie pour la grotte du Scorpion. Étant donné que je n'avais pas de kit, Fred m'a montré comment transformer ma combi de spéléo en sac à dos de fortune. Ce qui m'a été fort utile durant la petite marche d'approche, pour éviter de tout trimbaler le matos...

Christian voulait nous faire voir le fond actuel de la cavité, car il soupçonne la grotte du Scorpion de rejoindre la grotte du baume St Pierre. Nous ne sommes pas restés longtemps, car le fond est vite atteint. Le trou d'entrée est assez sympa et il est un bon entraînement pour les étroitures.

Puis nous sommes allés à la grotte du baume St Pierre. Bon là, on commence fort, à ramper sur le dos pour pouvoir passer l'entrée, souillée par le butin d'un renard. La grotte du baume St Pierre est très jolie par endroits, grâce à la formation de concrétions magnifiques. (Les autres endroits sont des passages bien étroits par contre!) J'ai bien
pourri mon nouveau baudrier... J'ai aussi passé ma première étroiture et c'était sympa. J'ai mis un petit peu de temps à comprendre qu'il ne fallait pas que je me crispe... Une fois détendu, c'est passé (presque) tout seul !

Nous avons visité les deux galeries et Christian nous a montré où il pensait que pouvais être, le passage qui mènerait vers la grotte du scorpion.

Voilà ! Merci à Christian et à Fred de nous avoir fait partager leurs savoirs !

Et à bientôt pour de nouvelles aventures du club Spéléo-Magnan. (À lire comme une bande-annonce de blockbuster américain)

Gaëtan

Souvenirs au vallon de Donavéo

Enfin, le film consacré au vallon de Donavéo par l'association Handicap Aventure lors de laquelle de nombreux Magnans étaient présents (la moitié ou presque !)
Attention, le film dure pas loin de 45 minutes ! Il faudra prendre un peu son temps avant de le visionner.

Petits travaux à l'aven du Sans-Pascal

Date : Dimanche 12 juin 2011
Participants : Maëlle, Gilles, Paul, Michel (Magnan), Ludo (ASBTP), Anthony (CAF SLV)
TPST : 5 heures

Au programme du jour, petite sortie au SP à objectifs multiples. L’occasion de faire découvrir à Maëlle ma nouvelle résidence secondaire... La limite fixée sera la côte ultime de -130 m.
Je décide d’étoffer ce programme déjà très chargé avec du rééquipement au niveau du boyau des Principes et dans le puits du CliffHanger.

Le rendez-vous est donc donné à 8 h 30 sur le parking de Canyon Forest, ce qui me permettra d’arriver à 8 h 50 en bon dernier. Normal quoi ! Après avoir groupé le matériel et les spéléos dans les voitures, nous décollons tranquillement. Arrivés sur place, nous retrouverons d’autres autochtones de Cavillore qui partent pour aller déséquiper l'aven de la Bousculade.

Une fois équipés et repus, Ludo, Michel et moi-même partons en tête pour pouvoir équiper en attendant l’arrivée du second groupe. Un amarrage est rajouté dans le boyau des Principes afin que la corde ne frotte plus, la nouvelle corde est posée ainsi que dans le puits suivant. Les vieux réflexes sont encore là, Ludo est déjà remonté sur le ressaut alors que la suite se trouve maintenant en dessous via la célèbre Porte d’Aix !

Une fois l’équipement terminé et la vire passée, nous décidons de faire une petite halte en entendant arriver le reste de la troupe. Celle-ci reconstituée, nous repartons pour descendre les trois puits suivants qui nous amèneront au terminus du jour, où je commence à percer dans la tête de puits pendant que Maëlle, Gilles et Paul nous rejoignent.

Le travail accompli, nous nous posons un moment pour ripailler (terme assez relatif sous terre) avant d’attaquer la remontée. Paul, Michel et Ludo partent devant et je reste avec Maëlle et Gilles pour le retour. Je pourrai ainsi apprécier les acrobaties de Maëlle et constater avec elle que sa longe courte est un peu longue, ce qui ne lui facilitera pas le travail dans les passages en vire, et que son MAVC n’est pas très docile. Mais celle-ci s’en sortira quand même ! Pendant ce temps l’équipe de tête en profitera pour finir de décrocher et remonter le câble 220V. On se retrouvera presque tous à la base du P30, l’occasion pour moi de pouvoir apprécier le kit de Ludo et de ne pas lui proposer un échange avec le mien (finalement un kit perfo, ce n’est pas si lourd que ça !).

Tout le monde dehors ! Formidable. Maëlle me confie qu’elle a bien apprécié la sortie, malgré les quelques galères et les multiples bleus (ça fait toujours plaisir). Le problème se posera au moment de plier bagage pour redescendre (ben ouais il ne va pas y aller tout seul au parking ce wagon de câble…). Paul va pouvoir tester la solidité de son sherpa ainsi que celle de ses chevilles pendant la descente. Nous retrouverons d’ailleurs au passage notre groupe de spéléos revenant de l'aven de la Bousculade (quel timing) et ferons la descente avec eux.

Anthony

P.-S. Pour la seconde équipe qui descend sous terre, Gilles et Paul ont bien apprécié la désobstruction au boyau des principes et ont longtemps admiré la Porte d’Aix.

Aven du Sans-Pascal : arrêt sur siphon !

Date : Lundi 13 juin 2011
Participants CAF SLV : Loïc, Anthony, Renaud
TPST : 10 h

Aujourd'hui la mission est de fouiller méticuleusement la galerie aval. Nous sommes au puits du chameau en 1 h 15, l'aménagement des passages dans les puits fait gagner du temps même à la descente. Nous rejoignons le puits qui donne sur la galerie « Crétacé ». Loïc plante 2 spits et change la corde tandis qu'Anthony et moi mettons un dallage de bloc sur le palier pour éviter de nous enfoncer dans la boue et de trop salir la corde.

Nous filons ensuite dans la salle « Crétacé », Loïc, trouve un passage entre les blocs pour remonter un peu l'actif vers l'amont. Arrêt au bout d'une dizaine de mètres, sur passage bas aquatique entre les marnes et calcaire...
De retour dans la salle, direction l'aval. Après le méandre, l’escalade repérée dans la salle précédemment est vite grimpée. En haut une galerie part...
Une branche haute ne donne rien au bout de 10 m. En bas, cela file sur 30 m. Nous découvrons le lit d'un affluent (sec ce jour) au contact Marnes calcaire, puis dans une bulle un magnifique regard sur le plan de chevauchement lisse comme un miroir.

Une galerie ventilée semble être la suite, en fait cela rejoint le méandre actif du départ... Fin de la boucle, nous repartons vers le fond. Un méandre est ensuite exploré sur 10 m arrêt sur comblement. Poursuite vers le siphon, la galerie prend de l'ampleur, un nouvel affluent arrive en rive droite, on peut désormais parler de collecteur. Au passage, je me fais une belle frayeur dans la galerie, le sol s'effondre sous mes bottes et je me prends quelques beaux blocs sur les jambes en tombant dans le trou. Bilan un bel hématome, mais rien de grave, ce n'est pas un endroit ou tomber...

Au fond, nous découvrons le siphon, le niveau est identique à la fois précédente.
Anthony, pars explorer un diverticule en vue de shunter le siphon, mais à nouveau arrêt au bout de 10m sur siphon non alimenté.
Une topo nous permettra de comparer l'altitude des 2 siphons pour éventuellement le vidanger.
Le siphon principal devrait friser la cote des -300 (-285, -290 je pense...)
Nous ajoutons aujourd'hui environ 70 m de première.

Il est 16 h 30, nous quittons les lieux. Arrivés au camp, nous étrennons le nouveau réchaud descendu avec un « café gourmand ». La remontée se fera en 2 h, la encore on gagne du temps avec les aménagements effectués. Loïc sort 30 m de câble depuis la Tartinette.
Le seul câble restant est désormais au Camp à -210.

Renaud

Mystères au Granges de la Brasque

Date : Lundi 13 juin 2011
Participants : Maëlle, Gilles et Michel
Lieu : Le Triangle des Bermudes des Granges de la Brasque

Pour certains Magnans dont je tairais le nom, les Granges de la Brasque tiennent véritablement d'un lieu mystérieux.
Il y a quelques années, Gilles et moi partis de Pélasque en direction des fameuses Granges n'ont malheureusement pu atteindre le but souhaité. La faute à la météo peu clémente. Décidons de faire demi-tour, nous nous sommes perdus. Les mauvaises langues diront que c'est normal étant donné les antécédents des deux randonneurs ; mais nous avons opté pour une tout autre conclusion. C'est bien sur la faute de l'IGN, la carte étant remplie d'erreurs. Notre supposée incompétence de cartographe n'est pas à mettre en cause.
Ne pouvant rester sur un tel échec, nous avons décidé l'année dernière de retenter l'expérience. Mais rebelote, une terrible erreur se préparait silencieusement... Une force mystique poussa Gilles à faire une erreur d'appréciation de 32 km par rapport au point de départ. On en conviendra, Utelle n'est PAS les Granges de la Brasque. Il va sans dire que notre repérage était sans faute ! Quelle idiotie de placer la D355 à côté de la D35 ? La vérité est que nous n'étions pas les bienvenus aux Granges de la Brasque !

Une telle malchance est inacceptable ! C'est pourquoi nous décidâmes une fois de plus de retourner aux Granges de la Brasque ! Cette fois-ci, nous fîmes très attention au chemin d’accès ! Et finalement, nous l’atteignîmes ce but ! Une preuve photographique sera là pour en témoigner. Mais nous n'aurons pas de témoin. La bonne foi de Maëlle sera suffisante ou alors il vous reste à interroger les deux gros chiens patou (avant de vous faire bouffer).

Partis donc des Granges, nous choisîmes une petite boucle pas trop longue. Le début est tranquille, puis devient un peu plus délicat. Nous perdîmes un peu le chemin (encore !), mais pas d'inquiétude. Une belle montée s'ensuivit jusqu'au sommet ou nous mangeâmes. La ballade continua jusqu'au drame...

Nous avions perdu le chemin ! Décidément, cet endroit ne veut pas de nous ! Cherchant intelligemment sur la carte, nous nous repérâmes à la perfection sur la carte. Notez bien ce qui va suivre, parce que nous-mêmes n'avons pas trop compris. Il va sans dire que la carte nous a plusieurs fois induits en erreur !
Suivant la ligne de crête, nous cherchâmes le sentier du retour. Peine perdue au milieu de la forêt, des blocs et d'un début de brouillard. Quand enfin ! Miracle ! Les peintures rouge et blanches ! C'est le GR5 ! Nous nous repérâmes vite fait sur la carte et sans erreur aucune de notre part (toujours), nous conclurent d'aller tout droit à travers les arbres suivant les peintures ! Est c'est une piste bien large qui nous attendait ! En regardant la carte, nous aperçûmes que nous avions suivi la bonne route (celle du début) même en ayant perdu temporairement le chemin ! C'est qui les plus forts, hein ?
Sûr de nous, nous décidâmes d'aller à gauche pour suivre la nouvelle piste et rentrer à la voiture...

Et là, pas de chance... Maëlle reconnut une vieille bassine à côté de nous... Elle avait déjà vu cette bassine à l'aller ! La conclusion lapidaire s'impose... en allant à gauche, on se perdait pour de bon... Mais il y a pire... La présence de cette bassine nous mène à la terrible conclusion : nous n'étions pas au bon endroit sur la carte ! On suivait en réalité un chemin inexistant depuis une bonne heure... Encore un coup de l'IGN ! Les Granges de la Brasque résonnent comme un lieu mystérieux à l'image du Triangle des Bermudes ou de l'Atlantide... Aller aux Granges de la Brasque et ne pas se perdre, telle est l'enjeu, que dis-je le Graal à atteindre pour nous ! Il faudra bien entendu des courageux volontaires pour nous accompagner dans cette quête...

Michel

NB : les peintures rouge et blanches étaient en réalité des marques forestières et pas le GR5.On aurait pu les suivre jusqu'à Lantosque.

Souvenirs à l'Aven Ollivier...

Enfin, le film consacré au 20 ans de l'association Handicap Aventure lors de laquelle de nombreux Magnans étaient présents (presque tout le club !)
Attention, le film dure pas loin de 30 minutes ! Il faudra prendre un peu son temps avant de le visionner.

Entrainement spéléo au décrochage d'équipier

Date : samedi 4 Juin 2011
Participants : Ludo, Marieannick (ASBTP), Gilles, Maëlle et Paul

Sortie interclubs avec le club ASBTP et (of course !) le groupe Spéléomagnan. C'est à voir en vidéo et merci à Paul pour la caméra !

Première vidéo : Ludo qui décroche Paul

entrainement spéléo décrochage d'équipier #1 par polatchou

Deuxième vidéo : Marieannick qui décroche Ludo

entrainement spéléo décrochage d'équipier #2 par polatchou

Troisième vidéo : Paul qui décroche Maëlle

entrainement spéléo le décrochage d'équiper #3 par polatchou