lundi 1 décembre 2008

PERIPETIE DU LAPIN

Participants : Cyril, Laetitia, Fred et Christian

Initialement nous devions être 6 personnes pour cette sortie, mais vue la pluie que nous avons eu sur la région ce dimanche, deux ont préférés leur couette que la combinaison. C' est sur le coup de 10 heures 15 que nous quittons le locale pour Roquefort les pins. La pluie tombants très fort, Laetitia, par téléphone, me demande si nous ne pourrions nous rendrent à la Mescla; discutions que nous avions déjà eu avec Fred; je lui fait savoir que non, Béa, étant notre relais, est au courant pour le Lapin, et puis si il pleut sur Nice, il ne peu que tomber de la neige sur Roquefort.

Sur place, la pluie ne tombe pratiquement pas, seul quelques coup de tonnerre nous rappel que nous somme en automne. nous nous changeons, puis sur le chemin menant à l' aven du Lapin, je me souvient d' un petit aven que j' ai repérais il y a quelque temps, qui n' a ni de marque ni de numéro. Je le fait savoir à mes partenaires, et il n' est pas la peine de leurs dire deux fois pour que nous retrouvions tous à l' entrée de l'antre. Avec Fred, nous sondons la profondeur avec nos lampes ; Fred découvre un vieux spit. il y fixe une plaquette et installe la tête de corde sur le pied d'un arbre juste à coté.

Je regarde de nouveau et prend la décision de faire la descente en désescalade. lorsque je touche le fond, j'estime la profondeur à pas plus de 4 mètres. quelques petites concrétions ornent la cavité. Sur l'ouest de la cavité, ce trouve un petit méandre qui devient vite impénétrable. Au sol, sous le puits, ce trouve un très gros bloc qui doit cacher une suite, si tenté qu' il y en ai une, car il n' y a aucun courant d'air. Nous descendons tous, sauf Laetitia, pour jeter un oeil à ce petit trou.

C'est vers 12 heures 30 que nous arrivons à la tête de puits du Lapin. Fred fait l' équipement, et je descend le puits, qui est magique avec l'eau qui pleure de partout. Je suis rejoint par Cyril, puis Laetitia et Fred.

Nous laissons notre matériel de progression verticale dans un coin, puisqu'il ne nous servira à rien pour la suite. Nous passons l'étroiture qui nous emmènent à la grande salle, et là nous sommes accueillies par le petit lac qui est rempli d'eau. Je le passe en me mouillant jusqu'à mi-cuisses. Fred le passe en ce prenant pour une chauve-souris, Laetitia, après moulte réflexions, ce jette à l' eau; quant à Cyril, il fait les photos, les photos et les photos.

Nous visitons la grande salle, sans toute fois faire le réseau du bas, car je connais bien cette cavité, et je soupçonne la présence de Co2 dans la partie terminal.

C'est vers 13 heures 45 que nous nous retrouvons dehors ou la pluie tombe, juste de quoi nous laver derrière les oreilles. Nous devions faire la baume St. Pierre, mais c'est en commun accord que nous y renonçons.

Nous nous changeons toujours sous la pluie, sauf moi qui me change dans le coffre de ma Clio, puis nous prenons la route de Gourdon ou, nous constatons que la grotte de l'Ours coule énormément. Pour le retour, Fred et Laetitia, passe par le col de Vence pour voir la neige. Etant chaussé en pneu route, je ne prend pas le risque de les suivre, et c'est avec Cyril, que nous prenons la route de Pré du lac, et que je montre à Cyril, ce qu'il reste de la grotte de la Sarré.

Nous nous retrouvons tous au club, et chacun reprend sa route, et sa vie citadine.

Christian STARCK