dimanche 31 juillet 2011

Clue de la Maglia

Date : Samedi 30 juillet 2011
Participants : Alexandre, Paul et Michel
Commune : Breil sur Roya

Marche d'approche : 15 minutes
Descente du canyon : 2 h 30
Marche retour : 30 minutes

Plus d'infos sur la clue de la Maglia, ici





Fin juillet, un vendredi soir. Paul m'appelle : « on fait la Maglia demain avec Alex. T'es partant ? » Bien sûr que oui. Rendez-vous est pris au local à l'Espace Magnan à 8 h 30. On y va cool, très cool même, rien ne presse pour aujourd'hui. La raison est simple : les groupes emmenés par les guides. La clue de la Maglia est sans doute la super classique du département... et aussi la plus fréquentée !

Un peu plus tard, 10 h 30 du matin. On arrive au parking retour. Changement, préparatif rapide et direction le point de départ. 11 h, on démarre la Maglia par un (petit) saut. L'eau est fraîche pour moi est chaude pour Paul. Question d'appréciation. De nous trois, seul Alex ne connaît pas la Maglia. Démarrage rapide, Paul en tête mène le rythme à bonne allure. Aujourd'hui, ça sera plus sportif que d'habitude.

Quelques minutes plus tard... premier groupe ! Dix personnes au moins. Le guide nous laisse passer, il ne laisse pas retarder trois personnes. Quelques minutes encore plus tard... deuxième groupe ! Et ainsi de suite... au total, nous avons doublé pas loin de dix groupes de dix personnes à chaque fois. Je vous laisse faire le calcul, quand je disais que la Maglia était surfréquentée... D'où l'intérêt de partir plus tard. En attendant, un grand merci à tous les guides qui nous ont gentiment laissés passés devant ! Et à celui qui nous a prêté sa corde pour éviter que l'on sorte la nôtre.

On mène toujours la course, on ne ralentit que lorsque l'on atteint un nouveau groupe. Entre temps, des sauts, des sauts et des sauts. Sans ralentir, sans s'arrêter. Pas de pause déjeuner, on se ferait doubler par les groupes. On mangera à la voiture. Alors en attendant, on fonce vers la sortie. Durée totale du canyon préconisée par les topographies : 4 heures. Notre durée à nous : 2 h 30. Durée effective si l'on avait été tous seul dans le canyon : 2 heures... Un joli chrono, on sort de là plutôt content de nous !

Michel

D'autres comptes-rendus sur la clue de la Maglia, ici

dimanche 24 juillet 2011

Vallon de Challandre

Date : Dimanche 24 juillet 2011
Participants : Mika, Maëlle, Cédric, Alex
Durée du Canyon : plus ou moins long

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Départ de Nice 9h direction les gorges du Cians, nous laissons la 4L en bas du canyon pour la navette. Après une marche d’approche dans les bois nous arrivons au bord du vallon où nous commençons à nous équiper. Nous faisons à ce moment, une rencontre surprenante avec 2 canyonneurs que je connais très bien (un ancien collègue et le frère d’une amie) ! Le hasard fait bien les choses !

Une fois équipé, une petite marche nous amène aux premières cascades, qui s’enchainent avec un rythme plus soutenu.

A noter que nous marchons sur de la pélite rouge qui facilites grandement les glissades. Et donc, le prix de la meilleure gamelle est remis à Maëlle, non pas pour la qualité de la chute mais par la quantité. Et en plus avec les 5.10…

Enfin bon, canyon fort sympathique avec pas mal de verticales et de beaux paysages. Surtout le point de vue en haut qui surplombe toute les cascades. Dommage pour l'eau froide !

Alex

Descente ludique dans le rio Abellio

Date : Dimanche 24 juillet 2011
Participants : Perrine, Fred et Michel
Temps : 1 heure de descente
Commune : Airole (Imperia, Italie)

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Petit canyon que celui d'aujourd'hui. Une découverte de Fred en fouillant les canyons du secteur. Pour nous trois, il nous était donc complètement inconnu. Direction l'Italie et le village d'Airole. De là, l'on se gare sur l'ancienne route de la Roya (trafic routier inexistant) peu après le village. Il n'y aura pas de marche retour ni de navette.

Petit canyon certes, mais longue marche d'approche ! Heureusement, la marche est plutôt simple et monte régulièrement. De retour au village, on le contourne rapidement, suivant un sentier en direction du vallon désiré, toujours en tournant à gauche à chaque intersection. ¾ d'heure de marche plus tard, nous arrivons au début du rio Abellio. L'eau est limpide et le débit peu important.

On commence... par marcher encore un peu ! Le sol ne se prête pas aux glissades, tant mieux... sauf pour les toboggans. Le parcours est dégagé, par moment la végétation recouvre très partiellement le canyon, ce qui rend la traversée un peu plus sauvage que d'habitude. Heureusement, on marche très peu entre chaque cascade. À peine une à deux minutes de marches avant un saut. Et des sauts, il y en aura ! Des rappels, un seul. À vrai dire, la corde a servi une seule fois,l es baudriers aussi. Les sauts, donc. Oui, il y en a quelques-uns (une douzaine) ! Très jolis de surcroît, avec des vasques bien profondes et bien larges. Il y en a pour tous les goûts : 2m de haut jusqu'à 8m environ. Cerise sur gâteau, il est très facile de les refaire pour peu que l'on sache un minimum grimper.

Après une heure de canyon, nous arrivons à la voiture. Nous poussons par curiosité le canyon jusqu'à la Roya... aucun intérêt. En conclusion, le rio Abellio présente un parcours très mignon et très ludique. Dans le même genre que le ruisseau d'Audin, tout proche, mais avec plus de sauts et beaucoup moins de monde dedans ! À faire pour une initiation décalée ou juste pour une partie de plaisir !

Michel

samedi 23 juillet 2011

La Siagne de la Pare

Date : Samedi 23 juillet 2011
Participants : Maëlle, Paul, Cédric, Mika et Alexandre
Temps : 3 heures de descente
Commune : Escragnolles

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Avant de commencer la marche d’approche à 11 h pour une durée de 1 h. Il est à préciser qu’il ne faut pas se garer à la lisière du bois, mais devant le panneau du Conseil Général.

Après avoir commencé le chemin, c’est au deuxième éboulis de pierres sur une pente bien raide qu’il faut prendre la descente.
On est rentré dans le canyon à 12 h 30 après la pause déjeuner.
Une très jolie descente dans l’eau vert-émeraude et fraîche avec de nombreux biefs à traverser à la nage sur une bonne partie du canyon.
La suite s’enchaîner avec de jolies descentes dans des cascades végétalisées.
La fin est donnée par l’arrivée dans la Siagne.

Pour effectuer la marche du retour, il faut garder les harnais et les casques. Elle s’effectue en suivant les marques bleues. Il faut d’abord remonter sur 100 m en amont de la Siagne en restant en rive droite, puis attraper un petit chemin pas toujours visible à gauche (dans le sens de la marche). Ca été une peu long pour nous parce qu’on a pris notre temps et nous nous sommes assuré lors des passages difficiles et à risques (escalade !!). Une fois arrivé sur le col suivre le chemin qui nous ramène aux voitures. Nous avons mis au total 2 h de marche retour.

Maëlle et Mika

PS : Nous remercions les personnes qui ont mis balises bleues.

jeudi 21 juillet 2011

Vidéo spéléo : Naïca, la grotte aux cristaux géants

Un extrait de 15 minutes du documentaire de Ruben Karenfeld diffusé sur Arte en 2008. Durée totale du documentaire, 1h30 ; à voir en entier sur le site de Arte.

mercredi 20 juillet 2011

Test du caméscope étanche Kodak PlaySport (mise à jour)

Mise à jour du mercredi 14 septembre 2011 : le camescope qui suit n'existe désormais plus. Une banale chute et il fît un plouf au fond d'une profonde vasque lors d'un canyon. Impossible de le repécher, l'eau étant trouble et la profondeur relativement importante à cet endroit. L'ayant pas mal utilisé pendant tout l'été, je complète mon article.

Apprenti réalisateur depuis quelques années, je me suis récemment mis en tête de changer de caméscope étanche pour un modèle plus performant. Cependant, de par notre activité canyoning, quel ne fût pas ma surprise de constater que le choix d'un caméscope était un sujet débattu sur les forums de Descente-Canyon... De là, l'idée d'un test a posteriori, c'est à dire après plusieurs mois d'utilisation.

Présentation de la bête !

Il y a donc plusieurs mois que j'utilise un caméscope étanche Kodak, modèle PlaySport, de son petit nom, ZX3. Je l'utilise uniquement en canyoning et non pas en spéléo pour des raisons d'éclairage insuffisant.
Le PlaySport est relativement petit, pas trop lourd et tient dans la main. En apparence solide, étanche jusqu'à 3m, il est doté d'un écran de contrôle lisible, de quelques boutons et... c'est tout ! Une dragonne complète l'ensemble. Le caméscope enregistre sur carte SD dans plusieurs formats vidéo : HD 720p, HD 720p 60 images secondes et HD 1080p. On peut aussi prendre des photos en 5 mégapixels.




Après plusieurs mois d'utilisation...

Mon précédent appareil, un Pentax étanche, a vécu une vie mouvementée ! De très nombreux canyons, des sauts en pagaille, il a fini largement en dessous de la profondeur autorisée avant de se retrouver geler dans la rivière souterraine de Gournier ! Mon vaillant Pentax finira sa vie perdue dans un canyon quelques années plus tard...

… la solidité...

Voilà ce qui attendait peu ou prou mon Kodak ! J'ai d'ores et déjà dépassé la limite de profondeur de 3m (lors d'un saut de 12m) et il a survécu à maints chocs, dont un de 10m ! Bon, il a rebondi plusieurs fois sur un plan incliné, il s'en est sorti avec quelques égratignures, mais il fonctionne encore très bien ! Test de solidité passé haut la main, Kodak sait faire du bon matos !

La solidité est pour moi un critère primordial pour le canyoning. Notre activité est assez violente (sauts, toboggans) et les appareils électroniques sont mis à rudes épreuves. Un appareil compact et sans parties mobiles (écran pivotant) est donc un bon choix.

… l'étanchéité...

Je connais déjà des appareils qui ont pris l'eau (n'est-ce pas Gilles). Jusqu'à présent, pas une seule goutte d'eau à l'intérieur. J'ai plusieurs fois « noyé » le micro externe (à côté du capteur), mais rien de grave, il suffit de souffler dedans. Les clapets d'ouvertures (carte SD et prise HDMI) sont bien protégés de l'eau et ne s'ouvriront pas de manière intempestive. Il faut un peu forcer pour les ouvrir ! Mise à jour : j'ai constaté au bout d'un certain temps des débuts de traces d'humidité sur les joints d'étanchéité des clapets d'ouverture. Rien de grave cependant, n'oublions pas que j'en ai eu un usage un peu "extrême"...

… la prise en main...

Il y a peu de boutons sur le PlaySport. Un bouton « Power » sur le côté et 10 secondes après, le caméscope est opérationnel. Par défaut, le caméscope est en mode film (normal) et utilise le mode d'enregistrement désiré au préalable (720p dans mon cas). Un seul bouton pour filmer et c'est tout ! Oublier le zoom numérique, il est de piètre qualité et saccade un peu. Un autre bouton pour visionner la prise de vue, un autre pour la jeter (pratique) et un dernier bouton pour le menu. Simple donc.

Pour les prises de vues, j'avais du mal au début, mais on s'y fait à l'usage. Avec le coup de main, on arrive à filmer lors d'un rappel ou pendant la descente en toboggans ! Par contre, pour les sauts le rendu est assez moyen, mais c'est une question de goûts personnels peut-être.
Afin de ne pas perdre l'appareil, j'ai fixé un mousqueton à la dragonne. Surprise, la dragonne est étonnamment solide ! Mise à jour : solide oui, mais à condition de bien le tenir... au risque de le perdre.

… et la qualité d'image

Je filme en 720p, mais pour une diffusion sur internet. Après montage sur iMovie, le rendu est plus que correct. Les autres modes d'enregistrement sont donc inutiles pour moi. Sur TV aussi, l'image est très correct. Soit en le connectant par HDMI, soir par carte SD. Enfin, je n'utilise pas le mode photo. La qualité est moyenne sans plus. À ne pas utiliser pour cet usage donc. Les trois vidéos suivantes furent réalisées avec le petit Kodak.




Et la batterie ? Pour mon dernier canyon, j'ai effectué 80 prises de vues et beaucoup d'allumage / extinction de l'appareil pour 50 minutes de film en 720p. La batterie n'avait plus aucun jus pour la suite. N'ayant jamais filmé autant, j'estime à une heure d'enregistrement le maximum possible. Je tiens compte du paramètre eau froide qui à la fâcheuse habitude de réduire la durée de charge de la batterie ! Mise à jour : lors du dernier film, j'ai effectué 164 prises de vues pour 40 minutes de film, toujours en 720p.

Points forts :

- compact
- très solide !
- facile d'utilisation
- le prix !

Pont faible :

- la batterie, assez moyenne
- le zoom, totalement inutile

Conclusion

Le Kodak PlaySport est pour moi un appareil bien conçu pour le canyoning. À l'inverse des caméscopes étanche chez Sanyo, il ne présente aucune partie mobile et reste ainsi plus solide aux nombreux chocs. À l'inverse, sa simplicité et son petit prix le rendent idéal pour une activité loisirs du canyoning. Les professionnels passeront leur chemin vers quelque chose de plus consistant. Idéalement, on pourrait compléter le Kodak avec une caméra Hero GoPro, cette dernière, fixée sur le casque, présente l'avantage... et l'inconvénient de filmer toujours le même point de vue. Mise à jour : Ayant perdu définitvement mon camescope, je repartirai sur le même modèle. Avec une particularité en plus néanmoins. Mon futur camescope sera beaucoup plus protégé des chocs et je l'attacherai solidement à mon harnais !

Michel

Spéléo-plongée relaxante

Ce matin, trois petites vidéos qui m'ont tapés dans l'oeil. Trois vidéos sur des explorations spéléo sous l'eau. Des professionnels de l'image sont à l'oeuvre est ça se voit tant l'image est magnifique et la musique... relaxante. Je n'ai pu faire de recherches approfondies mais je pense qu'il s'agit de rivières souterraines situées en Belgique.

Les vidéos sont signées de Koelakant.



vendredi 15 juillet 2011

Canyon en italie, le Rio Barbaira

Date : Jeudi 14 juillet 2011
Participants : Maëlle, Gaëtan, Paul et Michel
Commune : Rocchetta Nervina, Italie
Temps : 3 heures
Attention, canyon payant : 4 € par personne

Plus d'infos sur le canyon de la Barbaira en suivant le lien


En ce magnifique temps de 14 juillet, il fût décidé pour quelques-uns d'entre nous d'aller faire trempette dans un canyon sympa. Exception du feu d'artifice, point de devoir patriotique, nous irons en Italie faire notre canyon. Le canyon de la Barbaira (ou rio Barbaira pour les italiens qui nous lisent) au petit village de Rochetta non loin d'Imperia.
Particularités de la Barbaira : le canyon est ludique, plutôt joli, rempli de français et... payant !

Arrivé sur les lieux, nous préparons le matériel puis direction le sentier de marche d'approche. Arrêt minute à la caisse et c'est parti pour... 45 minutes de marche en plein soleil ! Enfin, toutes mauvaises choses ont une fin, le pont enjambant la Barbaira se dévoile...

On s'équipe tranquillement pendant que d'autres groupes accompagnés de moniteurs débarquent peu de temps après. Pas de doute, il y aura du monde aujourd'hui ! Pour débuter, deux possibilités s'offrent à nous : se tremper en douceur au pied du pont... ou faire un saut de 8m directement dans l'eau. L'option 2 est bien évidemment choisie et sans se poser de questions !
La suite est du même acabit. On évolue dans un très joli décor à l'eau limpide, enchaînant les sauts plus ou moins grands et les toboggans. 8 m, 5 m, 10 m, 12m... on saute tous ce qui peut-être sauté ! Paul sortira la corde et équipera en de très rares occasions.
L'occasion aussi est trop bonne de s'amuser pleinement et de tester différentes manières de sauter... en souplesse... ou plus brutal... de descendre les toboggans à plusieurs, etc.


Nous finissons après trois heures de canyon au barrage (saut de 4m) marquant la fin pour nous. La partie basse menant au village est en effet réservée aux baigneurs. Dernière marche pour le retour est 20 minutes plus tard, nous voilà à la voiture pour nous restaurer.
En conclusion, le rio de la Barbaira est à faire au moins une fois. Aucunement compliqué et de surcroît vraiment très mignon, ce canyon est vrai plaisir à parcourir.

Michel

dimanche 3 juillet 2011

Le Gros Riou de Cuébris

Date : Samedi 2 juillet 2011
Participants : Valérie, Maëlle, Cécile, Gilles, Alexandre, Paul, deux sympathiques jeunes gens... (désolé, j'ai oublié vos prénoms...) et Michel
Commune : Cuébris, vallée de l'Estéron
Temps : assez longtemps, mais pas trop non plus

Le gros Riou de Cuébris, une classique dans le département. Aéré, joli, de beaux sauts et quelques rappels, le tout au frais, c'est tout ce qu'il faut par ses rosses chaleurs. Le canyon du jour fera l'objet d'une triple initiation solidement encadrée et d'un perfectionnement à l'équipement pour Alexandre.

Après un arrêt minute-chargement au local du club, la petite troupe roule vers Cuébris. Certains au calme (relatif, n'est-ce pas Maëlle ?), d'autres au mélange sonore improbable « Jacques Brel + hard rock » à plein tube (un grand DJ ce Paul). Changement rapide au terminus du canyon et tout le monde en Kangoo et en maillot direction Cuébris.

Pour plus de simplicité, nous commencerons le gros Riou de Cuébris à partir de sa deuxième partie. Nous ne ferons pas la partie encaissée et obscure ni le grand rappel. Non pas que cela soit dangereux en cette saison, mais un grand rappel n'est pas forcément indiqué en initiation pour débuter... et aussi (surtout) parce que n'avons pas corde qu'il faut...


Traversée du canyon au calme, on en profite pour s'amuser au frisbee entre deux rappels et toboggans. Pour les trois personnes en initiation, point de craintes particulières dans les rappels, ni dans les sauts... exception faite d'un saut (3m) qui repoussera Cécile malgré tous mes efforts. Pas grave, elle sera contrainte de faire le suivant avec Maëlle. Alexandre, Paul, Gilles et moi-même tenterons les plus gros sauts du canyon (8m environ)

Fin du canyon tranquillement. Gilles a cherché quelques minutes le chemin retour et je me suis un peu égaré dans la forêt entraînant malgré elles Valérie et Cécile. Pas de problème donc, que serait une sortie Magnan sans se perdre et sans retard ?

Michel