samedi 31 juillet 2010

LA CLUE DE LA BENDOLA EN INTEGRALE (ET EN PHOTOS)

Note : cet article est une mise à jour d'un précédent article


Date : samedi 24 et dimanche 25 Juillet 2010
Temps : entre 15 et 16h (sur 2 jours)
Participants : Eléonore, Jean-Paul, Gilles et Paul

Premier jour, rendez-vous au club à 6h30 un peu stressé. On s'attend a une bonne grosse journée ! Enfin prêt, nous partons une demi heure plus tard direction Saorge pour garer la voiture vers 8h30. La préparation des kits commence afin de répartir le matériel... première difficulté, la place dans les kits !
Après quelques calculs nous partons enfin pour le départ du canyon. 1h30 de route longue très longue plus tard... surtout pour moi à l'arrière de la camionnette seul avec pour seul compagnie les kits. La piste que nous avons emprunté n'était pas la bonne et... comment dire... c'est le genre de piste qui plairais beaucoup à Fred avec son 4x4 !

Enfin, nous arrivons à destination ! Une vue magnifique ! Nous croisons deux personnes qui ont fait la Bendola en intégrale la veille en une journée (des malades...) Quelques petites infos très utile sont récupérés au passage (comme par exemple « n'hésite pas à enlever la combinaison dans les passage sec »)
Vers 10h30, le moment temps attendu du départ. La marche d'approche est magnifique. Il ne faut pas chercher de chemin, il est tout simplement inexistant ! C'est une descente dans le vallon jalonné de prairie avec pleins de petites fleurs que Jean-Paul s'empresse de nous donner les noms suite à un parcours florale fait la semaine d'avant.
Au bout d'un moment, nous arrivons au panneau indiquant le départ du canyon de la Bendola : il est environ 11h et nous commençons la descente très jolie. Un petite marche avec quelques désescalades au bord d'un petit torrent de montagne... 45 minutes plus tard, en haut du premier rappel, nous décidons de nous restaurer avant d'attaquer les chose sérieuse !

En effet, nous démarrons ce qui va être une TRÈS LONGUE JOURNÉE !!! Après plusieurs ressauts, rappels et marches au bord du torrent, celui-ci disparait complètement et nous nous retrouvons dans un canyon complètement sec à part quelques vasques bien croupis... Nous enchainons alors rappels et séance de marche en plein soleil. Et le manque d'eau se fait alors ressentir (surtout moi^^) car pour nous alléger au maximum, nous avons pris quelques pastilles de Micro-Pure. Ca ne prend pas de place, c'est très léger mais ça ne sert à rien quand il n'y a pas d'eau !
Après 4 heures d'effort, l'eau sort miraculeusement de terre et notre joie explose ! De courte durée... au pieds de la C45 le courant d'eau disparaît de nouveau. Faute de pouvoir remplir nos gourdes, il va falloir encore se rationner...
La suite est encaissée, très jolie cependant nous somme obligé de traverser des grandes vasques d'eau croupie... quel bonheur...

Nous continuons notre chemin pendant 1 heure environ. A ce moment là, miracle ! De l'eau !!! Une petite cascade de 20m ! Des voix remontent de plus bas : un groupe de 3 marseillais. A notre tour, nous descendons cette magnifique cascade se terminant par une superbe vasque d'eau turquoise. Celle-ci précède la C40. Enfin, nous savons ou nous sommes ! Nous décidons de faire une petite pause bien méritée !
Après étude de la topo et de l'heure (il est environ 18h30) la course contre la nuit commence. Nous accélérons le rythme pour ne pas finir a la frontale. Peu après, nous rattrapons le groupe de marseillais et leur proposons d'unir nos efforts pour aller plus vite. Nous apprendrons plus tard qu'ils sont partis le matin à 8h30. Grâce à nos efforts oh combien douloureux (!!!) et long (!!!) nous arrivons au bivouac de l'Ours peu avant la tombée de la nuit... Très dur journée !



Nous nous installons dans un petit coin bien tranquille, allumons le feu et c'est partie pour le meilleur moment de la journée : le barbecue ! Avec nos petites côtelettes et saucisses sans oublier bien sur le litre de rouge de Jean-Paul que je me suis fait c**** a porter toute la journée ! Un petit calva de Jean-Paul plus tard et enfin nous pouvons nous jeter sans aucuns problèmes dans les bras de Morphée !

La nuit se passa bien. Le petit déjeuner à peine fini, c'est le moment d'enfiler nous combinaisons. Le départ à lieu vers 8h45 et la première vasque d'eau fini de nous réveiller totalement ! Nous marchons environ 3 heures pour retrouver le petit groupe du 13 partis environ 45 minutes avant nous. Nous marchons encore 30 minutes et la passerelle marque le début de la Bendola médiane ! C'est l'heure de la pause repas !
Une fois restaurés, nous reprenons ce long canyon. D'après la topo, il nous reste 3 heures. Alors c'est parti !!!  Cette partie du canyon est magnifique avec des petites cascades de très beau biefs très encaissés. Et la surprise ! Après seulement 1h45 nous arrivons au terminus de cette aventure longue et difficile !!! Heureux de retrouver la voiture. Enfin, nous pouvons boire la bière de la victoire (bien fraiche !)

Paul

RIO DI MONTIXI

Date : Dimanche 30 mai 2010 (oui, c'est un peu vieux !!!)
Participants : Perrine, Maëlle, Gilles, Fred, Paul et Michel
Commune : Airole (Italie), bassin de la Roya

Oui, je sais, nous avons fait le rio de Montixi il y a quelques temps déjà (fin Mai)... oui, je sais, il n'y a pas eu de compte rendu... ce petit canyon fort sympathique aurait pu passer à la trappe si ce n'est un envoi récent par Maëlle des photos qui suivent... Merci à elle.
Je ne saurais raconter en détail les événements de la journée... Je vais faire du mieux que je peux. Arrivée dans le petit village haut perché d'Airole, nous sommes en Italie. Il n'y a pas de navettes de véhicules. Le stationnement s'effectue sur le parking entre l'église et le cimetière. Faites gaffe pour vous changer, la tenue combinaison-maillot de bain peut-être éventuellement mal perçue... surtout un dimanche. Ce n'était pas notre cas ce jour là. La marche d'approche débute à gauche de l'église. Compter environ 3/4 de marches pas trop dur sur un petit sentier ombragé par moment peu entretenu. Nous avons suivi le chemin jusqu'à une belle grande vasque. On a débuté le canyon à cet endroit.
La suite est tranquille et ludique. Un joli cadre, de belles vasques, quelques sauts intéressants, un petit rappel (corde de 25m). Compter 3 heures pour le faire. Le canyon s'arrête au barrage. De là, on peut reprendre le chemin de l'aller.


A+
Michel

dimanche 25 juillet 2010

VALLON DU GUIOU

Note : cet article est une mise à jour d'un précédent

Date : Dimanche 4 Juillet 2010
Participants : Paul et Michel
Commune : Sospel, bassin de la Bévéra

Une certaine personne dont je ne citerai pas le nom ayant mieux à faire dans une réunion, deux courageux Magnans ont décidés malgré le beau temps sans nuage de faire un canyon. En lieu et place du Chaudan en possible crue, nous nous sommes reportés sur le vallon du Guiou que ni l'un ni l'autre ne connaissait.

Arrivé sur le parking assez facile d'accès, nous commençons la marche d'approche. Celle-ci dure un peu moins de 1h30 en comptant quelques petites pauses. Partiellement ombragé, le sentier bien balisé suit une pente bien sévère par moment. Il nous faudra suivre le GR en direction de la cime du Pénas pour arriver à notre but (un pont en pierre)

Après une pause repas, on s'équipe. Surprise, un groupe descend à ce moment là l'amont du Giou. On se renseigne, l'amont dure environ 1h30 avec uniquement des petits sauts et de la marche. Le groupe étant dépourvu de baudrier, il n'y pas de rappel à priori (à vérifier) Du pont, il n'y a pas de broches... dommage, pas de rappel. On accède au Guiou par un petit sentier. L'eau est douce pour ce jour... heureusement, l'air est chaud ! Le débit est correct, les vasques sont pleines.


On démarre notre explo tranquillement. C'est assez joli, très souvent ombragé. Il n'y a pas beaucoup d'encaissement et nombreuses sont les échappatoires. De temps en temps, un saut pas trop haut mais fun. Pas de rappel pendant un bon moment. Finalement, l'enthousiasme du début commence à s'effriter... C'est long entre 2 sauts... on marche beaucoup... Les rappels arrivent à mi-parcours. A noter que nous avons « sauter » certains rappels... Pas mal, c'est bien arrosé, enfin on s'éclate ! Le plus grand rappel est une cascade de 25m. Au bout d'un moment, on trouble les coins perdus de quelques bandes de jeunes venu s'éclater dans les vasques. Il y a un super saut, environ 12m (le plus haut) Quelques minutes plus tard, le canyon s'élargit, on entend la circulation routière... c'est la fin après 3h30 heures passés dans l'eau sans aucunes pauses et à bon rythme (sans courir non plus, on est pas des fous)

En conclusion, le Guiou est sympa. A connaître, à faire... mais pas à refaire tous les ans.

Michel

CLUE D'AIGLUN

Note : cet article est la mise à jour d'un précédent


Date : Samedi 10 Juillet 2010
Participants : Muriel, Maëlle, Gilles, Fred, Paul et Michel
Commune : Aiglun (06)

A quoi reconnait-on une sortie mémorable ? Une bonne question que voilà. Dans notre club de spéléo, les sorties mémorables sont celles ou les problèmes se sont multipliés sans interruption... D'ailleurs, nous avons coutumes de dire « c'était une vraie sortie Magnan ! » La clue d'Aiglun rentre saus aucun doute dans cette catégorie : celle des sortie Mémorables (avec un M majuscule !), celle des vraies sorties Magnan... on peut même supposer qu'en la matière, cette journée rentre tout droit sur le podium des journées Mémorables...

Je m'aperçois aussi que nous avons une autre boutade chez les Magnans : celle de dire aux nouveaux et nouvelles que nous avons un quota de perte humaine autorisée jamais utilisé depuis la création du club (presque 40 ans !) C'est une blague mais cette fois-ci, on était pas là loin d'y passer.

Petit retour en arrière... Jeudi soir, à la traditionnel réunion, nous décidons de partir à l'assaut de la clue d'Aiglun. Quelques uns la connaissent bien, tant mieux. Par ailleurs, le week-end s'annonce chargé pour la plupart d'entre nous puisque nous comptons rejoindre Anaïs dans la soirée et partir sur Tende pour réaliser une randonnée vers le Margua, le dimanche.
Samedi matin, avec la traditionnel demi-heure de retard, nous partons tous ensemble pour Aiglun. La navette une fois faite, nous partons de Sallagriffon pour la marche d'approche. Jusque là, rien à signaler... nous sommes naïf devant les emmerdes qui nous attendent à bras ouvert. Le début se passe bien aussi, on s'amuse, on s'éclate dans de l'eau douce... génial. A noter qu'il y a pas mal de débit mais rien de très alarmant non plus, on a vu pire.
Premier problème qui ne nous alerte même pas, mon appareil photo étanche en profite pour divorcer avec moi et plonger tout droit dans le courant tumultueux...
Peu après, c'est le premier ressaut. Paul et moi-même le franchissons et... c'est une belle machine à laver là dedans ! Même pas mal ! Nous équipons quand même en hors crue pour les suivants. Gilles en profite aussi pour se faire mal de même que Maëlle...
Deuxième ressaut, ça se complique, le courant est trop fort, on équipe en hors crue. C'est plus long mais plus sécurisant.
Troisième ressaut... cette fois, on va devoir descendre en plein dans la petite cascade... l'équipement hors crue étant inexistant ! Fred équipe et manque de se blesser à la main à cause de la force du courant... Maëlle boit une bonne grosse tasse d'eau et c'est Paul, plus bas qui la tireras de ce mauvais pas... Quand à Murielle, grâce à la rapidité de Gilles, il faudra couper la longe qui la retenait en pleine cascade sous l'eau... noyade assurait sans le précieux couteau (toujours à avoir sur soi, heureusement on en avait presque tous un)
Quatrième ressaut, un rappel, cette fois ci qui se descend avec un peu d'appréhension pour les filles (tu m'étonnes !)
Enfin, après ces mauvais passages, nous arrivons à mi-parcours. La rivière s'agrandit et nous pouvons nous reposer. Précision, nous avons presque 3 heures pour faire la moitié du chemin...




Vous vous doutez bien que la décision de prendre l'échappatoire à était prise à l'unanimité absolu. En fait, nous avions déjà prise la décision bien avant de franchir le troisième ressaut... Trop de débit, trop dangereux. En plus Gilles à perdu ses lunettes.
L'échappatoire démarre sur la rive droite. Il est bien balisé du moins dans sa première partie. Nous savions que le chemin était « très difficile »... et c'est bien vrai ! Nous n'étions pas au bout de nos peines ! J'ai reviendrait plus tard, le panneau indique « échappatoire possible »...
Compter sur 3 heures de marches dans un pierrier abrupt (environ 45-50° de pente) Un sentier presque inexistant, glissant, ou rien ne tient mais très bien balisé ! C'est simple, d'en bas de échappatoire, regardait les montagnes environnantes et dites vous que vous allez faire un sommet ! Le chemin est simplement interminable, avec les combis néoprènes, les cordes... bref tout le matériel de canyon totalement inadapté à une randonnée difficile ! C'est la merde mais certainement moins que poursuivre le canyon.
Une fois arrivé au sommet du pierrier, les balises bleus disparaissent. Peu après, nous atteignons une piste balisé (le GR4) Et maintenant, on va où ? Nos voitures sont à Aiglun et Sallagriffon... Mais c'est dans quelle direction ? On appelle un ami, Christian, pour nous diriger avec une carte IGN. C'est juste pas simple de lui expliquer ou nous sommes puisque nous même ne savons pas ou nous sommes ! Plutôt que de séparer et augmenter les problèmes nous décidons de poursuivre le GR4. Ca monte encore, c'est cependant plus simple qu'avant. Plus tard, la balise 94 nous conforteras dans la bonne direction, celle d'Aiglun.
Journée difficile hein ? J'ai oublié de dire qu'à ce moment là et depuis un bon moment déjà, nous n'avons plus d'eau et rien à manger ! Il y a toujours les fraises sauvages au sol... ça nourrit un peu !
Le sommet donc. En en ai déjà à plus de 3 heures de marches et au moins 800m de dénivelé positive ! Sans eau, sans bouffe et avec du matos canyon. Effectivement, l'échappatoire est « très difficile » !
Après la montée... la descente ! Compter encore sur presque 1000m de dénivelée négative avant d'arriver à Aiglun... 1h30 plus tard, après presque 5 heures de marches, nous atteignons la civilisation... enfin presque... c'est juste des maisons isolés distantes de... 5km à pieds encore du village ! Pendant que Gilles et Fred partent à la recherche du véhicule, les autres attendent, épuisés mais désaltérés grâce aux habitants du coin. Heureusement, le moral est toujours là ! C'est pas tous les jours que l'on peut vivre ça !

Il est 9 heures et demi du soir quand nous partons tous ensemble en voitures pour Sallagriffon chercher le reste des véhicules. Sur place, Fred et Murielle nous quittent pendant que les autres restants décident de manger sur place. Initiallement, la journée de dimanche étant consacré à une randonnée, nous avions emporté avec Gilles les réchaud, la bouffe et les gamelles.
Et c'est parti pour une séance cuisine à même la route d'accès à Sallagriffon ! On en profiteras d'ailleurs pour faire des tests culinaire en vu de notre randonné en Corse.

Alors bien Aiglun ? Finalement, on se souviendras tous de cette journée pendant longtemps. Par la pratique des canyons et la spéléo et aussi de la réflexion nous avons réussi à ne perdre personne...
Je reviens sur le panneau « échappatoire possible » Dans ce cas, le mot « possible » tient tout son sens : en plein canyon, si les conditions se détériorent, sachez qu'il est « possible » que vous vous en sortiez par le chemin plutôt que par le canyon... Conclusion, ne vous engager pas dans Aiglun sans avoir pris connaissance des débits d'eau... Dans notre cas, ses informations étaient inexistantes ou pas à jour.

Michel

dimanche 18 juillet 2010

CIRCUIT DE FONTANABLE

Date : dimanche 18 juillet 2010
Participants : Maëlle, Gilles et Michel
Commune : Castérino
Dénivelé : 670m en monté comme en descente
Durée : (hors pause repas) 5h

Après la journée d'hier passée à la cime de Corvo suivi d'une bonne nuit de sommeil à Tende, nous enchainons dimanche sur le circuit de Fontanable à Castérino (1550m), porte d'entrée à la célèbre Vallée des Merveilles.

Nous démarrons par une belle piste bien large à la dénivelée régulière. Boisé, bien ombragé, la piste se grimpe sans trop de difficultés. Après un court passage devant le refuge de Fontanable, nous poursuivons en direction du lac Vert. Ce lac étant l'entrée de la zone réglementée des gravures rupestres, nous sommes contraints par des gardes de ranger nos bâtons. Peu de temps après, nous effectuons notre pause repas près du lac Vert. Durée de la montée depuis le départ, environ 2 heures.
Suivant exclusivement le sentier balisé, nous poursuivons à travers les gravures rupestres en suivant une petite boucle qui nous ramèneras au lac Vert (45 minutes)





La descente est beaucoup plus douce, toujours sur l'ancienne piste militaire. Néanmoins nous suivons un autre chemin plus long qu'à l'aller qui nous mèneras devant la la c des Grenouilles par un court détour. Un peu moins de 2 heures plus tard, nous parvenons à notre point de départ.
Une belle ballade, plus simple que la précédente, très jolie et chargée d'histoire...

Michel

CIME DE CORVO

Date : samedi 17 juillet 2010
Participants : Maëlle, Gilles et Michel
Commune : Berghe inférieur (Fontan)
Dénivelé : 670m en monté comme en descente
Durée : (hors pause repas) 3h40

En cette de veille de préparation du GR20 en Corse, nous avons décidé avec Gilles d'un bon week-end de randonnée. Premier jour, samedi, nous ferons avec Maëlle la cime de Corvo que nous ne connaissons pas.
L'accès routier est simple. En suivant la vallée de la Roya, atteindre Fontan puis bifurquer à la sortie du village vers le joli hameau de Berghe inférieur. Attention, la route est très sinueuse est assez étroite. Bien sur, elle est à double sens alors préparez vous à rencontrer du monde dans le sens inverse... Et du monde, il y en a ! Le hameau de Berghe inférieur(863m) est étonnamment propre et neuf. De là, la vue est spectaculaire sur la Roya en contrebas.

Une fois garé, nous démarrons à la balise 212 en suivant un petit sentier tout le temps boisé. Nous ne croiserons personne de la journée sur ce sentier. Bien aménagé, le sentier monte régulièrement au début... avant de devenir franchement sportif sur la fin ! Une belle dénivelé (577m) que voilà que nous ferons en 1h40 jusqu'au col de Tate (1450m, balise 214). Le col sera notre pause repas. Avec Gilles, nous en profitons quand même pour pousser jusqu'à la cime de Corvo (1525m)... en 10 petites minutes aller-retour !


Le hameau de Berghe inférieur et la vue au sommet de la cime de Corvo

Presque une heure plus tard, nous repartons vers Berghe en suivant un autre chemin. Celui-ci descend, au moins dans sa première partie, comme l'aller : c'est raide ! Peu après, nous regagnons la piste de la Ceva, longeons la grange d'Amatte et par un sentier en pente douce regagnons notre point de départ. Durée du retour, environ 2 heures. Une bonne journée, un coin plutôt joli, frais et complètement désert de randonneur !

Michel