lundi 27 juillet 2009

VIA FERRATA DE PUGET-THENIERS

Date : Samedi 25 Juillet 2009
Participants : Eléonore, Brigitte, Gérard, Gilles et Michel... et Petit Fred et Petite Fred en guest star

En attendant le récit de miss Eléonore qui mettra peut-être du temps à me parvenir, voilà déjà un bref aperçu en photo de cette journée sur la brulante via-ferrata de Puget-Theniers, journée sous un soleil de plomb qui à débuté malheureusement à Auron avant de se conclure en baignade rafraichissante dans Var.



Les autres photos sont ici

A+
Michel

dimanche 19 juillet 2009

VIA FERRATA DE TENDE

Date : Dimanche 19 Juillet 2009
Participants : Anaïs, Ludo, Gilles, Daniel et Michel
Temps : 2 heures sans se presser

Comme toute bonne sortie digne de ce nom, il est bon de décrire les prémices qui y ont menés. Initialement déroulé à Puget-Thégniers, la via-ferrata changera radicalement de lieu pour cause de forte chaleur... sur La Brigue. Initialement rendez-vous à l'Espace Magnan à 9 heures, le lieu et l'heure changeront aussi quelque peu pour cause de soirée trop longue et de nuit trop courte. Jusque là, tout va bien, tout est normal. C'était bien sur sans compter des impondérables... la fête du village de La Brigue et de ses (nombreux) parkings remplis, de la volonté inébranlable de Gilles de vouloir gouter à l'oeil l'apéro du village et... la via-ferrata fermé depuis un an... Pas de panique, il reste celle de Tende qui est de toute manière la seule du secteur.



Je passerai rapidement sur les détails qui précédèrent encore le début de notre escapade de haute voltige. Il y a des choses qui doivent rester dans le petit cercle d'initié... (il est question de poulies et de cordelette de boucher) de la haute voltige là aussi, mais en restant sur la terre ferme ! Marche d'approche, ça monte, ça monte et ça monte encore... en plein soleil. Pause pan-bagnat au départ avant le pont himalayen et c'est le début d'une envolée de plus en plus haute sur la falaise qui surplombe Tende. Première Tyrolienne (120m), tout se passe bien pour tout le monde sauf Daniel qui s'emmêle quelque peu et fini par se tracter tout seul sur la plus grande partie à la force des bras ! Un peu contrarié certes (je censure le discours) mais nullement impressionné par le vide béant sous lui pendant 10 bonnes minutes. Complètement lessivé par l'effort consenti (on peut comprendre !), je retourne sur la tyrolienne pour le tirer de là sur les 20 derniers mètres avant l'arrivée. Pas de quoi entamer sa bonne humeur puisque il se vengera sur la deuxième tyrolienne plus rapide et spectaculaire que la précédente (et aussi plus longue : 130m) La suite ? La suite de la via-ferrata étant fermé, nous entamons une rapide visite à la grotte de Hérétiques avant de retourner aux voitures.

A+
Michel

mardi 14 juillet 2009

VIA FERRATA DES GORGES D'AGNELLES

Date : Mardi 14 Juillet 2009
Participants : Mimine, Dgé et Bertrand

La deuxième via à choisir : étant donné le retour domicile à faire, elle est choisie sur sa géographie proche de Gap et de l'autoroute : ce sera donc la via de « La Gorge d'Agnelle »
Via très petite mais très physique que la précédente. Pour 4 heures donné, nous avons mis 3h30, temps d'approche compté et attente vue le monde. Petite via, mais très très physique !



Brigitte

lundi 13 juillet 2009

VIA FERRATA DE LA MOTTE DU CAIRE, GRANDE FISTOIRE

Date : Lundi 13 Juillet 2009
Participants : Mimine, Dgé et Bertrand

Décision est prise entre fonctionnaire, sauf un, pour ce long week end du 14 Juillet de changer un peu et de faire des via ferrata
La décision est prise de ne pas aller trop loin, les plus proches, ayant déjà faites celles du Dévoluy, reste Gap, Sisteron et Dignes les Bains
Lundi 13 Juillet, direction Dignes les Bains : « la roche des Neuf » Mais... via fermée jusqu'à fin Juillet ! Il est 10h du matin, direction donc sur Sisteron « la motte du Caire » ou la via ferrata de « La Grande Fistoire » nous attendent...



Brigitte

DIMANCHE 24 MAI LIVORNO-PISA-NIZZA LA BELLA

Visite incontournable de la tour de Pise, derniers achats pour quelques uns, déjeuner à l’entrée d’un cimetière et retour sur Nice, le cœur un peu gros pour ceux qui vont repartir au boulot, plus serin pour les heureux retraités !

Martine

SAMEDI 23 MAI : TEMPIO PAUSANIA-GOLFO ARANCI

Route sans problème jusqu'à Olbia, embarquement direct, sans attente, sur le ferry, peu de monde à bord. Au débarquement nous perdons P’tit Fred qui préfère rentrer directement pour retrouver P’tite Fred. Question : un P’tit Fred + P’tite Fred= ??

Nous retournons au camping Mare & Sole, il y a toujours autant de moustiques ! Et nous sirotons le dernier apéritif de l’aventure Sarde : mais nous y retournerons, promis, c’est trop beau et il y a d’autres ( ou les mêmes) canyons à découvrir.

Martine

dimanche 12 juillet 2009

CANYON DU MONAR (COMMUNE DE CLANS)

Date : Dimanche 12 Juillet 2009
Participants : Gilles, Philippe, Thierry, Pierre, Paul et Michel
Temps : 5 heures tranquillement

Le canyon du Monar... Si nous devions déterminer l'état d'esprit et de motivation de la fine équipe du jour, je devrai dire que seuls les meilleurs y sont allés. Mais oui, un peu de modestie ne fait pas de mal ! A l'origine, 11 personnes devaient d'inviter à la fête (aie aie aie...) Mais certains et certaines ont usés de prétextes fallacieux comme « je suis fatigués...j'ai piscine... ou j'ai mal aux cheveux... » pour prétendre ne pas y aller. Et alors ? Ayant tous plus ou moins une nuit longue longue longue bien chargés la veille, nous avons quand même décidé de faire cette clue. Un café peut être avant ? Non ? Bon..

Commençons comme d'habitude par un rapide récit du chemin d'approche en voiture : RAS, aucuns problèmes. Ne sachant pas du tout ou l'on allés, on c'est évidemment perdu en route... Accueil sympathique à l'italienne à l'entrée du canyon et nous voilà parti.


Cliquez sur l'image pour afficher le diaporama

Le début commence fort : une cascade d'une vingtaine de mètres. Fort de son expérience en canyon, Gilles se lance au préalable dans une rapide explication sur le descendeur. Passons rapidement sur ma petite chute (3 mètres) sans corde et continuons. Entre cascades à débit plus que correct et petits sauts ici et là histoire de s'amuser, tout le monde y trouve son compte. Un parcours joli, verdoyant et assez encaissé lui donnant des airs de véritable jungle. Conclusion, le canyon du Monar est à faire : c'est l'avis général. Maintenant... en dehors des quelques cascades presque toutes au début du parcours, le canyon du Monar laisse un arrière goût de (petite) déception : la majeure partie se fait en marchant. Sympa, à faire mais une fois pour connaître. Une très bonne journée malgré tout.

Michel

VENDREDI 22 MAI ALGHERO-CAPPO CACCIA-TEMPIO PAUSANIA

Lever de camp bien rôdé et direction Alghero, jolie ville axée sur le tourisme. On continue vers Cappo Caccia à la recherche de notre via ferrata qui domine la mer. Je passe sur les détails pour la dénicher : inconnue au bataillon !! Ignorée des offices de tourisme !! On laisse tomber et on va noyer notre déception dans la Méditerranée… Notre druide se pose sous un arbre, puis sur un banc public à Alghero où nous retournons l’après-midi pour sacrifier aux achats obligatoires.

Le magasin qui à le plus de succès est celui des couteaux, même pas sardes (trop chers) mais tant pis, Philippe repartira avec une jolie petite chose bleue qui tient dans la poche à défaut de jolie petite chose avec deux bras, deux jambes, deux flotteurs et autres attraits !! Mimine nous saborde le timing pour de vulgaire tongs rose corail (ça c’est parce que les bijoux en corail sont eux aussi horriblement chères et que Dgé joue les comptables radins).

Pour la dernière nuit, on choisit la fraicheur et l’altitude en mettant cap sur Tempio Pausania, arrêt en cours de route pour admirer et même visiter (Jeff) l’église San Trinita di Saccagia, on choisit aussi d’aller au resto pour le diner, ce sera la Pineta à Tempio. RAS et dodo à même le sol d’une piste repérer par P’tit Fred et Gillou (Philippe a quand même monté sa tente). Nuit fort calme et tiède à la belle étoile, sous les pins.

Martine

samedi 11 juillet 2009

CANYON DE LA CAGNE

Participants : Mimine, Dgé, Jeff, Gillou et les plus belles Eléonore et Perrine
TP : environ 7 heures

Rendez-vous au moulin de je ne sais plus quoi à Cagne sur mer, qui est une boulangerie vous devinez pourquoi.
Le canyon était super avec des descentes les unes sur les autres, pas de petits réseau de vrai descente.
On a fait joujou avec les cordes,
On s'est tapé une grosse montée
Ils se sont excuser tout le temps : d'avoir pris le mauvais chemin, de ne pas avoir d'eau
Eléonore et Perrine se sont éclatés.
On a passé une journée formidable, vous verrez les photos elles sont superbes

PS : pour le retour, prendre à gauche la sente visible et continuer jusqu'à un chemin à droite bien visible balisé en jaune et avec une grosse montée.

Voilà : conclusion à faire avec ou sans eau

Brigitte

JEUDI 21 MAI : PLATEAU DE GOLGO-BORD DE MER ENTRE BOSA ET ALGHERO

Le grand sage barbu sonne le branle bas, nous repartons à la recherche du gouffre caché, on le repère, il s’appelle Su Sterru ou encore Voragine del Golgo : une verticale de 270m, un puits plein pot. P’tit fred, Gillou et Dgé nous font une crise de désespoir de ne pouvoir le descendre sur les champs. Jeff pointe l’entrée au GPS, promis on reviendra. Nous reprenons la route pour une traversé de la Sardaigne d’est en ouest.

Tortoli avec vue sur Arbatax et son Cappo Bellavista sur la mer – Lanusei belle route avec beaux ouvrages (offert par la CE d’après notre grand chef), paysages majestueux – lac Fulmendosa – on tourne à droite sur l’ancienne route très pittoresque avec vaches et veaux installés en plein milieu, on passe le col Correboi au dessus de la nouvelle route et on rejoint la SS389D et Fonni. Ensuite Gavoi et SS128, le paysage devient plus champêtre, prés cultivés, arbres, prairies tout ce vert devient un peu lassant. Ottana, SS389 et on rejoint le grand axe SS129 qui mène à Macomer.

De temps en temps nous apercevons des nuraghes, construction circulaire en pierres datant de -1000 à – 500 av JC, des tombes dei giganti, des églises (beaucoup) mais il faut reconnaître que notre séjour n’est pas sous le signe de la culture : les merveilles de la nature nous occupent suffisamment durant cette semaine de découverte.

Macomer-Bosa, on commence à mourir de chaud, le panorama devient plus plat, plus sec bien que toujours assez sauvage et peu habité. Arrêt à Bosa et dégustation de glaces artisanales face à la butée de fin de rail du train sarde. Nous continuons par la route du bord de mer et nous retrouvons le plaisir des yeux : la cote est fort belle, roches volcaniques et végétation verdoyante et fleurie, vue sur la mer à l’infini…

Nous tournons à droite sur une petite route qui mène à un site archéologique pour chercher un emplacement pour la nuit. Nous trouvons finalement dans un virage de la route et il suffit de couper les chardons pour se trouver fort à l’aise. Même scénario vespéral et en plein apéro deux voitures envahissent notre espace, deux sardes en jaillissent et plongent le nez dans le moteur. Mimine, toujours compatissante, va aux nouvelles et Dgé, Gillou, P’tit fred et Jeff jouent les sauveteurs et réparent la ventilation. Gracié, Ciao !! Et en plein repas, voilà nos sardes qui réapparaissent et nous offrent une saucisse de belle apparence ! Gentil tout plein et reconnaissant !!

Martine

lundi 6 juillet 2009

EN VIDEO AU SANS-PASCAL

Un oubli de ma part : la vidéo réalisée lors de la sortie du 12 juin...


A+
Michel

MERCREDI 20 MAI : CALA FUILI-PLATEAU DE GOLGO

Le grand ChJeff a poussé la canzonetta pour nous sortir de notre léthargie matinale et hop, au parking de départ de Codula Fuili. Jeff se porte pâle et propose de nous attendre en bas. On s’équipe léger c’est un vallon sec. Marche d’une demie heure environ, on aborde la partie encaissée, quelques rappels, le plus grand fait 20m et remarche de d’une demie heure pour terminer au milieu de gigantesques lauriers. Petite séance d’escalade quotidienne pour la fratrie Malaussena et Jeff nous accueille à l’arrivé pas très frais non plus car il fait nettement plus chaud qu’en altitude !

Récupération des deux véhicules restés au départ et plage pour tous : natation, bronzette, même pour Martine car l’eau est froide et il lui faut une demie heure au soleil pour se réchauffer. Philippe se colle à l’ombre et condescend finalement à piquer son sprint en crawl et rejoindre les crêpes. Pique-nique léger : sandwichs à la sardine, saucisson, fromage sarde transpirant son gras… Dgé avoue son aise après sa troisième sardine et après qu’on lui ait promis le sanglier pour le soir.

On s’arrache (pour certain avec soulagement) de la piaggia et rebelote sur la SS125 où un rendez-vous shampoing nous attend à la source bien connue : mousse et massage du cuir chevelu ! Et même plus pour certain … on retrouve l’air frais des cimes, les cols Silana, Cruxi, Serbeme direction Baunei. Là, on emprunte une petite route qui nous mène sur le plateau du Golgo vers la chapelle San Pietro, Jeff et Martine soupirent de bonheur au milieu des bosquets odorants (j’entends déjà les réflexions des esprits mal tournés…) et on pousse des reconnaissances sur les pistes pour trouver le gouffre le plus profond de Sardaigne guidé par le point GPS de Jeff pris à la louche sur une carte au 1/250000. Nous ne le trouvons pas, après ça on se pose dans un endroit tout à fait agréable montage de camp, apéro, menu du chef Jeff : œufs pochés sur lit de semoule avec sa sauce tomate maison. Dodo bercé par les sonnailles des vaches et les aboiements des chiens.

Martine

jeudi 2 juillet 2009

MARDI 19 MAI : CUILE AR-BACCAS-CALA FUILI

Réveil en douceur sur accords de guitare et récital de notre ténor (?) favori . Lever de camp, nous quittons à regrets ce fabuleux endroit et redescendons sur Dorgali, direction Cala Gonone, fin de route et toute la troupe se retrouve sur la plage, quelques marches plus bas.

Trempette pour les uns, natation pour les autres et natation-escalade pour les fondus petits Malaussena. Séance bronzage pour Mimine qui passe de l’abricot à la tomate. Repérage de la sortie du canyon Codula Fuili, pas difficile c’est une plage ! Et nous filons vers les hauteurs pour nous trouver un emplacement de camping sauvage : plus dur à trouver car c’est très pentu. On se décide pour un coin à peu prés convenable et chacun plante sa tente ou accroche son hamac où il peut ! On pend le barde à un chêne, Obélix-Dgé dévore ses deux sangliers et Bonemimine s’active comme toujours…

Martine

mercredi 1 juillet 2009

LUNDI 18 MAI TRAVERSÉE SOUTERRAINE DE DONINI

Départ du même parking à 10h, là c’est P’tit Fred, à son grand dam, qui joue les esseulés, son genou ne veut pas coopérer. Le repérage ayant été fait la veille par nos trois jeunes, nous atteignons le puits d’entrée. Je laisse la parole au guide « Avons-nous à faire à une forra ou à une grotta ? Vous avez d’un coté une rivière avec des cascades, des vasques profondes, des étroits bien sculptés et des jolis sauts (nous on n’a pas sauté, trop froid) mais de l’autre, le ciel a disparu. Vous êtes entourés de roche, avec des stalactites, des voutes mouillantes, ceci dans l’obscurité la plus totale. Donini est bien une grotte mais qui nous donne tous les plaisirs du canyon. »

Gillou ouvre la marche, Brigitte s’est bourrée de Lexomil et se colle à tous les mecs pour se rassurer mais avance vaillamment. Il y a beaucoup de bains, de longues séquences de nage, mais surprise agréable la grotte est entièrement équipée en cordes. Là aussi, des gros volumes et un régal pour les yeux. Mimine s’est surpassée pour sa première grotte, elle n’as pas fait dans le médiocre.

Mes commentaires : Incomparable ! Splendide ! Exceptionnel pour sa beauté ! Eau limpide, froide ! Entrée qui cache bien son jeu ! Dernier rappel C48, top ! Un peu trop complexe … Retour par (presque) le même chemin sauf qu’on grimpe encore plus, heureusement P’tit Fred nous rejoint miraculeusement et nous pilote jusqu'à la piste où oh bonheur le 4X4 de Dgé nous attendait ! Merci à cet amour de P’tit Fred.

Nous quittons le parking, retour de quelques kilomètres sur la piste où nous trouvons à droite un emplacement pour le tea-apéro-diner-time, épiés par des cochons, cochonnes et cochonnets aux yeux ronds et aux oreilles de cocker. Installation de la douche, Martine joue les pénibles alors que Jeff n’a qu’une envie : se coucher et récupérer !

Martine

DIMANCHE 17 MAI : CANYON DE CODULA D’ORBISI

Réveil en musique, chant avec accompagnement guitare de Jeff. Petit déj royal, pliage du camp et en route pour le parking de plusieurs canyons à Cuile Sedda ar Baccas.

Il y a déjà du monde garé. On repère trois sardes avec du matos canyon et on se précipite pour leur arracher des renseignements, bien nous en prend, d’abord ils sont sympa comme tout, les deux damoiselles sont très appréciées par Philippe et Gillou et ils nous évitent une mort par froid subit dans notre futur explo (car on n’aurait pas pris les combis) ! Dûment renseignés, nous préparons notre équipement, sauf Jeff en état de faiblesse provisoire.

En route à 10h pour le canyon d’Orbisi, 15 mn de marche d’approche et on attaque. On s’équipe au bord de la première cascade et on se mouille assez vite. Philippe qui n’a pas mis son haut se caille assez vite dans un goulet aquatique, l’eau et vraiment très froide !! On arrive à la plus grande cascade : 35m dont 25m en fil d’araignée dans une énorme grotte ouverte (250 x 100). Là, on est mitraillé et admiré par un groupe (important) de randonneurs de Cagliari, c’est notre heure de gloire !

On continue notre progression, Fred et Gillou nous concoctent un genre de tyrolienne pour éviter de remonter un passage sur une corde à nœuds. On arrive à la partie la plus encaissée, on allume les frontales, Mimine se dope le moral et avanti ! Belle sortie par une énorme serrure et une descente de 30m. Sortie du canyon à 16h30.

Mes commentaires : j’ai trouvée çà géant, c’est une autre échelle que nos petits canyons des Alpes-Maritimes. Vastes dimensions, arcs de roche, calcaire blanc magnifique, un pur bonheur ! La marche retour, moins … on a grimpé et crapahuté sur la pente droite très raide jusqu'à atteindre un sentier plus tranquille qui rejoignait la piste et le parking, environ une heure.

Tea party avec gâteaux et biscuits et quand tous les canyonneurs et randonneurs ont regagnés leurs pénates nous allons en catimini étaler notre camp un peu plus bas sur la pistes. Comme toujours un super coin et une super ambiance : apéro, re-apéro et riz aux oignons mijoté par Jeff pendant qu’il nous attendait...

Martine