lundi 8 novembre 2010

Via-ferrata de Puget-Théniers

Date : Dimanche 7 Novembre 2010
Participants : Maëlle, Roxane, Gilles et Michel
Temps : 3 heures tranquilles

Par ce temps relativement doux, il était de bonne augure de se lancer sur les parois de Puget-Théniers. Une via-ferrata pas trop longue et assez simple. Facile mais proposant quand même ses petites difficultés. Nous sommes 4, seuls Gilles et moi sommes bien aguerris aux parois vertigineuses. Pour cette raison, nous encadrerons Maëlle et sa soeur.

Départ 12h30, une montée raide nous emmène rapidement à bonne altitude. Pas de difficultés, il ne faut pas avoir le vertige. En effet, derrière nous, l'espace visible est large. Curieusement, nous ne quitterons presque jamais de vue une maison rigolote et son cyprès qui ne l'est pas moins. Cette première étape franchie, il est temps de passer aux choses sérieuses : un pont himalayen. Un simple câble pour les pieds, deux autres pour les mains. Le pont est assez long, environ 30m et le vide peut décourager. Bien sûr, il n'y a aucune échappatoire. Pour rassurer les deux filles, nous entamons avec elles une discussion assez surréaliste... détourner l'attention, il n'y a rien de mieux ! Passage franchi haut la main ! S'ensuit alors une longue montée verticale jusqu'aux crêtes. Nous quittons la vallée du Var, le chemin aérien contourne la montagne temporairement. Quelques photos sont prises dans une cheminée avant un autre beau passage : un pont de singe.


Un câble pour les pieds, un autre pour les mains. Possibilité aussi de franchir le pont à l'aide d'une tyrolienne... montante. Il faudra tirer avec les bras et non se laisser guider. Notez que la tyrolienne est conseillée pour les personnes de petite taille. Pas de problème sur ce passage, j'irai juste chercher Roxane, fatiguée de se hisser.

Juste après, c'est la deuxième tyrolienne qui nous attend. Une tyrolienne descendante cette fois-ci. On explique les procédures et on se lance. Tout se passe bien, oubliant de freiner, Maëlle en profitera pour jouer à la kamikaze. Je servirai de matelas pour la stopper !
Dernière petite descente qui tire un peu sur les bras et c'est la fin. Une petite demi-heure de marche retour pour rejoindre la voiture.

Michel

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